Le traducteur transpose un texte, un ocntenu web, un logiciel, etc d'une langue dans une autre.
Comme l’expression l’indique, la fonction en question est de traduire. En effet, un expert en traduction dispose des connaissances linguistiques pour faire une traduction depuis une langue source ou une langue étrangère vers une langue cible, généralement la langue maternelle.
Le traducteur est une personne avec une solide compétence en aspect syntaxique et grammaticale, capable de traduire à la lettre, en respectant le fond et la forme de l’original ainsi que le style de langage utilisé, sans détourner le sens d’un texte ou d’un discours, même avec les jeux de mots et les différentes tournures de phrase.
Généralement, le métier de traducteur s’exerce dans un seul sens, c’est à dire traduire une langue étrangère en langue française, car il faut avoir une certaine expérience et une imprégnation même pour pouvoir faire une traduction retour, du moins une traduction de qualité.
Il existe plusieurs types de missions selon le domaine dans lequel la fonction s’exerce. On distingue en premier le littéraire, qui est le plus connu. Le traducteur travaille soit pour la presse soit pour une maison d’édition pour effectuer la traduction d’un ouvrage, d’un article de presse ou d’une pièce de théâtre.
Le traducteur est une personne qui a une très bonne plume qui arrive à reprendre les subtilités de l’écrit et à conserver le style de l’auteur en choisissant les mots idéaux pour l’exprimer avec la langue cible.
Ensuite, on parle de traducteur technique qui exerce dans un domaine spécifique puisqu’il maîtrise le langage technique avec les vocabulaires associés. Il travaille dans un secteur particulier comme dans les traductions médicales, informatiques, chimiques, électroniques, multimédias...
Dans ce cas, la mission du traducteur nécessite une familiarisation avec les outils technologiques. Il y a aussi le traducteur audiovisuel qui dispose les compétences nécessaires pour réaliser des sous-titrages ou doublages des films aussi bien pour le cinéma que pour les télévisions.
En somme, il y a le traducteur juridique qui est agréé par les autorités pour traduire tous les textes judiciaires et les documents officiels. Il travaille généralement dans les tribunaux ou dans les bureaux des autorités.
Il est à noter que traducteur et interprète sont deux fonctions différentes bien que des fois une personne peut s’associer au deux. La connaissance en langue est beaucoup plus approfondie pour un traducteur surtout à l’écrit.
Bien que tout le monde puisse apprendre des langues étrangères et avoir l’aptitude, d’en parler et d’en comprendre plusieurs en même temps, des compétences et des qualifications sont recommandées pour devenir traducteur dans le sens professionnel du terme.
En effet, il faut avoir une connaissance approfondie en matière linguistique et littéraire. Il faut également avoir un certain niveau de compétence culturelle et surtout une maîtrise du domaine de travail surtout pour un agent technique dans un domaine spécifique.
Le traducteur doit surtout maîtriser les règles grammaticales et chaque type de langages au bout des doigts pour assurer une traduction de qualité. Celui-ci n’a pas besoin d’être multilingue pour être expert en traduction.
Premièrement, pour mener à bien les missions qui s’approprient à cette prestation, le traducteur doit avoir de la passion pour les langues et surtout pour les écrits. C’est un métier qui nécessite de la rigueur et surtout de la patience, car il faut du temps pour comprendre le texte original et il en faut encore plus pour le traduire. Trouver le mot ou la formulation de phrase idéale sans s’égarer de l’idée de l’auteur et surtout en respectant certaines consignes.
Aussi, le traducteur doit avoir une certaine finesse et de la ponctualité, car un expert en traduction doit respecter un deadline pour rendre l’œuvre traduite et qu’il ne doit pas revoir chaque fois les travaux déjà effectués. Il faut également avoir une certaine flexibilité pour se mettre dans la peau de l’auteur et cerner les attentes propres à la traduction pour rester le plus objective possible en contribuant à une meilleure expression pour le public.
Que ce soit pour un traducteur en freelance ou bien en tant qu’employé dans une société, il faut au moins avoir une licence en filière linguistique comme avec les langues étrangères appliquées ou en littérature.
Les études peuvent aller jusqu’au diplôme de bac +5 en lettres ou en sciences de langage. Il existe également des études supérieures spécialisées dans la traduction comme l’ESIT pour un master pro de traduction éditoriale, économique et technique ou l’ISIT : Institut de management et de communication interculturels, l’ESTRI ou l’Ecole supérieure de traduction et de relations internationales et encore d’autres institutions de formation en traduction.
Selon la mission à accomplir, la plupart des personnes qui exercent le métier de traducteur ont un double ou même nombreuses spécialisations comme pour l’agent technique ou l’agent judiciaire qui doit avoir une connaissance en droit. Des masters professionnels sont accessibles pour les domaines spécifiques.
Oui, le secteur de la traduction est en pleine croissance actuellement. Les fonctions intéressantes qui s’associent à une telle aptitude sont de plus en plus nombreuses aussi bien en tant que prestataires indépendants que salarié.
Ainsi, le traducteur peut embrasser des fonctions de polyvalences jusqu’à en devenir un chef de projet. Il peut aussi s’attribuer à devenir un terminologue, faire carrière dans le domaine de l’enseignement ou encore dans la production audiovisuelle qui peut s’étendre vers l’international.
MISSIONS CLIENTS :
GRAND PORT DE MARSEILLE (Septembre 2010- Janvier-2011)
Implémentation de la solution de suivi et contrôle budgétaire
• Analyse des besoins clients
• Conception générale et détaillée
• Prototypage de la solution
SOPRA GROUP (Juillet -10 à 15-Aout-2010)
• Mission courte d’implémentation des processus de déversements analytique par l’utilisation de la fonctionnalité GL « Répartitions Haut Volume »
CITELUM (Février 2009 – Février 2010)