Somia - Chef de projet AUTOCAD

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Compétences
Expériences professionnelles
  • Le relevé documentaire :
    Ouvrage Auteur et références Résumé Usage
    1/ Non-Lieux. Introduction à une anthropologie de la surmodernité.
    Marc AUGE
    Edition : Seuil, Paris.
    Date de publication : 1992.
    Pages : 149.
    La différence entre les lieux et les non-lieux, la modernité et la surmodernité caractérisée par le décalage entre le temps et la distance, l’individualisme dans la traduction des informations, et l’universalisation des formes et des figures urbaines à cause de nouvelles technologies, qui ont envahi le monde entier, ce à qui engendré des endroits et des constructions liés seulement à la vitesse comme symbole du monde contemporain. La définition anthropologique de l’identité et l’universalisation.

    2/ L’urbanisme des idées aux pratiques (XIXe-XXIe siècle)
    Sous la direction de Philippe CHASSAIGNE Edition : Presses universitaires de Rennes.
    Date de publication : 2008.
    Pages : 228 Le coté pragmatique de la conception urbaine et architecturale, des pensées et des expérimentations utopiques de l’urbanisme de notre époque. Chapitre13 : Paris du super périphérique aux boulevards civilisés. L’automobile à l’âge du reflux.
    Exemple d’une entrée de ville qui a subi une revalorisation urbaine.

    3/ Quelles villes pour le 21 ème siècle ?
    Sous la direction de Françoise LIBERHERR-GARDIOL et Germàn SOLINIS.
    Edition : Infolio.
    Date de publication : 2012.
    Pages : 438 Ensemble des articles de onze spécialistes traitant, La métamorphose que les villes contemporaines ont connu dans le cadre de la mondialisation, tout en donnant des exemples détaillés des villes chinoise, indienne et brésiliennes pour mieux comprendre les formes de l’urbanisation planétaire. Chapitre 3 : les politiques urbaines et la crise de la mondialisation.
    Chronologie des politique urbaines alternatives face aux changements et aux défis de l’aménagement urbain.
    Conclusion : Urbanisation planétaire, avec et sans villes.
    L’histoire de la ville moderne en 3 temps, comprendre la genèse de l’urbanisme contemporain.

    4/ La ville moderne.
    Olivier ZELLER Edition : Seuil.
    Date de publication : 2012.
    Pages : 457. L’évolution profonde de l’urbanisation, avec ses dimensions : sociale et économique.
    L’influence de la société en tant que sujet, et les évènements sociétaux modernes sur l’orientation des développements de la ville. Chapitre4 : Statut et fortunes.
    Dans la démographie urbaine, une définition de l’entrée de ville selon le concept de la mobilité de la population.

    5/ Thèse : ESPACE URBAIN ET IDENTITÉ : L’imaginaire de la ville comme symptôme de la crise identitaire dans l’œuvre d’ORHAN. Maya OMBASIC,
    Université de Montréal.
    Date de soutenance : décembre 2012. La ville en tant qu’espace vécu, l’identité urbaine construite à travers l’histoire des villes turques. Exemple théorique narratif à propos des identités de l’espace urbain.

    6/ Revue Urbanisme :
    Le XXe siècle : de la ville à l’urbain.
    Article : Le devenir urbain du monde.
    Thierry PAQUOT Edition : Groupe Caisse des dépôts.
    Date de publication : (Novembre- Décembre 1999)
    Pages : 126-130.
    Le processus de l’urbanisation, qui consomme les terrains agricoles entourant la ville, et le phénomène de l’urbain qui dépasse les frontières de la ville pour acquérir la couronne périurbaine.
    La fin de l’opposition de la ville/campagne par la suite, la ville européenne s’éparpille et ses limites deviennent de plus en plus illisibles, et l’apparition d’une nouvelle approche des entrées de villes qui traitent cet espace transitoire comme espace bâti et vécu à la fois. Comprendre les raisons qui ont changé le statut des entrées de villes.

    7/ Revue Chez nous : Territoires et identités dans les mondes contemporains.
    Mathis STOCK Date de publication : 2006.
    Pages : 142-159.
    La question de l’identité spatiale dans la géographie comme un champ disciplinaire, qui définit l’identité selon les valeurs profondes et les symbolisations humaines de l’altérité, la familiarité et l’étrangéité.
    Le rôle de la mobilité géographique et les pratiques des lieux issues des différentes représentations collectives, dans la définition de l’identité comme sujet construisant et construit par territoire. Comprendre les deux notions de l’identité et du lieu dans un cadre géographique.

    La problématique :
    Si la problématique de l’identité urbaine est considérée parmi l’actualité la plus impor-tante, il reste encore à définir les espaces qui présentent cette identité. L’exemple de l’entrée de ville comme élément représentatif dès la première vue, dans son image actuelle, complè-tement différente de celle décrite dans les livres d’histoire, reste un point qui a consommé beaucoup d’encre. Jean- François VASSEUR a déclaré dans son livre Désordres urbains et régulation juridique le paradoxe des "entrées en ville : « Les entrées en villes se trouvent alors chargées de tous les maux… Elles ne sont plus la conséquence d'un profond bouleversement de la pratique sociale d'une consommation généralisée, mais la cause d'un désordre urbain souvent perçu au travers de son apparence architecturale ou de son atteinte à l'écologie.» p174.

    Pour mettre fin à ces maux, il s’agit peut-être de trouver le lieu dans ce non-lieu, de comprendre cet espace dans son statut actuel, de chercher les signes de l’identité qui peuvent lui donner plus de valeur et de profondeur. Alors la question qui se pose pour l’instant est celle de la définition de l’identité de façon générale et de l’entrée de ville plus précisément.

    Quels sont les éléments qui construisent l’identité urbaine d’un territoire définit par son existence géographique, et sa dimension sociale ?

    Voyant le développement technologique que l’être-humain a pu atteindre ces derniers temps, et qui a beaucoup influé l’organisation spatiale des villes surtout les entrées, quelle était et quelle est la définition de ces dernières ?

    Quelles sont les figures contemporaines qui caractérisent ces espaces, et peuvent-ils constituer une nouvelle image identitaire servant à remplacer l’image habituelle et construire un futur rassurée pour nos entrées en ville ?

    Le cadre théorique :
    Cette recherche, va tantôt analyser le passé, tantôt interroger le présent, elle a pour ob-jectif de comprendre l’identité urbaine et la notion du lieu en détaillant un exemple embléma-tique du non-lieu, c’est-à-dire acquérir les concepts théoriques et construire une base de con-naissances qui a une relation quelconque avec le thème, cette base va servir comme un outil à l’étape suivante qui s’agit de faire un travail d’observation et d’analyse d’un exemple.

    La première étape peut aussi orienter et enrichir le thème et la problématique en elle-même, l’acquisition des concepts théoriques permet de développer une certaine réflexion sur le sujet, l’exemple est un élément d’expérimentation qui sert à projeter la théorie sur la réalité, pour voir les point de divergence.

    Concrètement, en premier lieu, mon travail va questionner de façon générale l’identité dans toutes ses dimensions, les lieux et les non-lieux, la surmodernité et l’interprétation con-crète de ces notions, puis passer à une phase plus concentrée et prendre un espace dans la ville qui présente soit disant un disfonctionnement ou une contradiction.

    L’exemple :
    En me basant sur le travail effectué dans le séminaire métropoles en projet, l’analyse de la place d’Haguenau a mis en avant certains problèmes concernant l’identité de cet espace et de la ville de Strasbourg en générale, comme la dominance de la vitesse et du mouvement chaotique, l’invasion du commerce, l’absence du cachet alsacien, contrairement à la petite France. J’ai opté pour cet exemple sachant qu’au cours de cette recherche d’autres pourront être inclus afin de comparer et démontrer le manque des figures matérielles qui marquent l’identité des agglomérations.

Études et formations
  • Le contexte et l’intérêt du thème :
    La ville peut se définir comme l’espace vécu et perçu par une collectivité, ainsi que son habitude qui changent et se développent à travers le temps. Ce processus, sans cesse, détermine l’appropriation et l’identification de l’espace urbain, et élabore un code, servant à définir la ville en tant qu’un ensemble d'images interdépendantes, qui correspondent aux différentes dimensions représentées par cette collectivité : l’histoire, l’environnement bâti et aménagé, la façon d’investir l’espace, la morphologie et les pratiques sociales, la dynamique économique, politique… autrement dit l’identité urbaine. Cette dernière se constitue par l’ensemble des pratiques faites dans un lieu précis, hétérogènes et parfois contredites, « intégrant les valeurs assignées à la mobilité et aux lieux géographiques, les technologies d’habiter et d’habitat, les représentations, conceptions, qualités des lieux et des agencements spatiaux »

    Avant de se poser la question si nos villes actuelles ont toujours gardé leurs identités construites à travers le temps, un constat historique sera important pour souligner les mots clés de notre problématique. Juste après la deuxième guerre mondiale, la plupart des villes européennes ont été détruites, à cause du besoin de les reconstruire le plus vite possible d’un côté et de répondre à la demande de logement de plus en plus croissante, l’urbanisation a été passée à une phase beaucoup plus rationnelle et fonctionnelle, dominée surtout par le développement technologique que la société a connu par la suite ; donc une reproduction massive et aléatoire de l’urbain, ou l’urbanisme de plan de masse. Dans cette période, la modernité est devenue une obsession, l’architecture et l’urbanisme ne sont plus cet axe, autour duquel, le développement de la ville s’organise, contrairement au passé où ils étaient en eux même un facteur de développement, et le seul moyen de créer les établissements humains.

    L’envie de gagner du temps et d’amplifier la production urbaine, s’est traduite en un nouveau courant qui s’appelle l’urbanisation diffuse, cette dernière consomme d’énormes espaces surtout périphériques, et engendre d’immenses infrastructures, souvent marquant un caractère transitoire, passager et universel détaché en premier lieu de son environnement.

    À partir de ce bouleversement, l’identité est devenue une problématique primordiale, celle qui trouve ses racines profondes dans la question des identités individuelles, des référents géographiques et du lieu d’ancrage de ces individus. Guy De Méo déclare que « la plupart des identités individuelles, ou collectives, déclinent selon un continuum : du sujet humain aux territoires de la ville. La plupart des identités affichent une composante géographique, une spatialité qui les renforce et les rend plus prégnantes »

    Ces territoires considérés comme lieux, dont la lecture urbaine dévoile un caractère commun des figures interurbaines, ainsi que intra-urbaines, sont définit selon Marc Augé dans son livre les Non-Lieux. Introduction à une anthropologie de la surmodernité comme «… La surface première est immobile d’un corps qui environne un autre ou… l’espace dans lequel un corps est placé… » Contrairement, ils existent des espaces que l’auteur décrit comme non lieux, marqués par une abondance, de modernité, évènementielle, spatiale et référentielle ; parmi ces endroits il cite les autoroutes, les gares, les aéroports, les entrées de villes et les paysages modernes dont les panneaux publicitaires sont devenu un emblème universel.

    Revenons aux entrées en villes, ces endroits présentant un enjeu important dans la qualité du paysage urbain et l’identité urbaine, en tant que premier élément perçu dans chaque établissement, ont connu, à cause de l’urbanisation récente, une dévalorisation surtout fonctionnelle engendrant une discontinuité et une hétérogénéité apparente, qui casse le cachet local des villes. « Elles constituent depuis cinquante ans un véritable sinistre urbanistique. Partout, aux entrées de toutes les agglomérations urbaines, on retrouve les mêmes bâtiments, les mêmes parkings, les mêmes cubes, les mêmes parallélépipèdes. Partout, l’architecture est devenue enseigne et on a posé dans l’espace des séries d’objets préformâtes. Alors que les centres anciens, patrimoniaux, donnent lieu à un regain d’intérêt et à de nombreuses restaurations, il semble qu’on ait choisi de délaisser les entrées de villes qui étaient jadis l’objet de maintes attentions. Or la ville est un tout. On ne voit pas pourquoi la beauté, la convivialité et l’urbanité ne seraient réservées qu’à certains espaces urbains cependant que d’autres seraient voués à la médiocre accumulation d’objets disparates… » .

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